Tiens bien la viande dans ton assiette
- elle tressaute encore...

 

On sait déjà que la viande halal ou casher provient d'un abattage rituel impliquant
l'égorgement de l'animal conscient sans étourdissement préalable.
(Cette procédure barbare doit être l'un des rares points communs aux islamistes et israélites,
ayant son origine dans des 'lois' antédiluviennes.)
L'animal conscient est renversé dans un tonneau où les veines jugulaires et artères carotides
des deux côtés de sa gorge sont tranchées par le 'sacrificateur' avec un couteau,
avant d'en être éjecté pour être ensuite suspendu par une patte à la chaîne,
où il continue à agoniser en tressaillant pendant les longues minutes de la saignée
- alors qu'il devrait légalement être tenu tout au moins immobilisé jusqu'à sa mort définitive,
pouvant s'ensuivre jusqu'à 14 minutes plus tard (source: l'INRA).
(Mais ça change quoi en fait?)

Les animaux en attente peuvent observer exactement ce qui va leur arriver à leur tour
dans les minutes qui viennent.

Une dérogation honteuse (par décret) à la loi de la république tolère cette abomination
pour les pratiques et rites religieux desdites sectes.
Un sondage IFOP du 08 au 10 décembre 2009 a montré que
72% des français désapprouvent cette dérogation.

Un 'fast-food' 'Quick' (que c'est beau, le franglais pur...) à Toulouse a décidé récemment
de ne servir que de la viande halal: une décision commerciale ne pouvant guère louper
- compte tenu du quartier de sa localisation.

Savez-vous en revanche que de nombreux abattoirs pratiquent quotidiennement et illégalement
l'abattage rituel sans aucune raison autre que commerciale: car en sautant les étapes d'étourdissement
et d'immobilisation le nombre d'animaux 'traités' par heure est augmenté.
Le COPERCI (Comité Permanent de Coordination des Inspections) estime que
80% des ovins seraient égorgés en France sans étourdissement préalable.
La viande ainsi produite peut être commercialisée avec d'autres sans aucun étiquetage particulier:
vous aussi vous pouvez donc en manger sans le savoir.

En 2009 un vaste réseau - d'abattoirs, négociants et bouchers trafiquant de la viande halal
- a été démantelé (à Toulouse, Nice et Marseille).
Une soixantaine de personnes non-agréés et non-conformes était placée en garde à vue.
De nombreux abattages sont aussi pratiqués illégalement dans des locaux privés
sans aucun respect de la réglementation ni contrôles.

Le Conseil de l'Union Européenne a préparé un texte censé améliorer le sort
(et les conditions de la mise à mort) des animaux destinés à la consommation,
mais il a esquivé ce problème de fond (et il ne sera pas appliqué avant 2013
- qu'est-ce qu'on attend?).

Mais même les animaux étourdis peuvent retrouver la conscience avant de mourir:
leurs cerveaux étant toujours irrigués par les artères vertébrales ils peuvent continuer à souffrir.


Une émission de France 3 d'avril 2011 nous a mis en garde : nous risquons tous de consommer
sans le savoir de la viande produite dans des conditions illégales pour l'abattage des animaux
qui ne sont pas destinés aux marchés halal et casher.
Votre conscience vous permet-elle de manger la chair d'animaux sacrifiés dans
une souffrance inhumaine ?

GAIA (Groupe d'Action dans l'Intérêt des Animaux) a tourné une vidéo
en provenance de la Belgique, où un arrêté royal impose l'étourdissement
avant la mise à mort : pas encore respecté - mais la fin de la dérogation
pour l'abattage rituel est déjà programmée.
(Attention: les scènes sont dures à supporter pour des êtres humains normaux.)

Il serait bien temps que tous les pays 'civilisés' de l'Europe de l'Ouest
se mettent à l'heure du 21ième siècle et rejettent la barbarie moyenâgeuse
par dérogation au nom de la 'tradition' de tous les groupes sectaires ou autres
aux esprits primitifs : immigrants ou de souche - y compris

Vous vous devez de bien regarder ces images écoeurantes :
nous espérons bien qu'elles vont vous couper l'appétit.

 


En 2009 le groupe Charal a été pris en flagrant délit de torture d'animaux (voir ci-dessous)
et ainsi attiré beaucoup de mauvaise publicité.
Leur directeur de qualité tient à nous assurer maintenant qu'ils ont revu leur copie,
mais il n'y a pas de préscription pour la mémoire...

Le reportage de 'Univers Nature' ci-dessous s'appuie sur deux vidéos
tournées en caméra cachée dans un abattoir du groupe Charal à Metz
infiltré par un membre de l'association L214 qui se passent de commentaire
- si ce n'est que l'établissement et les Services Vétérinaires toujours présents
méprisaient totalement la loi .

 

Univers-Nature, le 29-08-2009

L’horreur dans un abattoir du groupe Charal

Ce sont de bien morbides révélations que vient de mettre au grand jour l’association de protection animale L214.
S’attendant à essuyer un refus suite à une demande de visite de l’abattoir Charal basé à Metz,
un enquêteur du groupe associatif a postulé à une offre d’emploi sur le site d’abattage au titre d’ouvrier abattoir.
Une démarche aisée au regard de l’absence de qualification ou d’expérience professionnelle requise.
Ainsi, pendant trois semaines, du 8 au 26 septembre 2008, l’enquêteur rendu sur place
a pu observer les pratiques en œuvre dans cet abattoir.

Or, le spectacle s’est révélé pour le moins cruel,
même pour un lieu dédié à l’abattage.
L’abattage rituel comme l’abattage standard
donnent lieu à des souffrances prolongées
chez les bovins avant leur mort définitive.
Au cours de l’abattage standard, les animaux sont effectivement étourdis
avant d’être mis à mort ainsi que l’exige la loi.
Toutefois, selon l’association, en raison du retard accumulé par le saigneur,
ils ne sont pas immédiatement égorgés
et reprennent conscience avant leur égorgement.
Parallèlement, la vitesse de la chaîne d’abattage restant inchangée
au cours de l’abattage rituel, sans étourdissement préalable,
cette cadence ne permet pas de maintenir l’animal
dans le tonneau de contention jusqu’à la fin de la saignée.
Au regard de quoi, là encore, l’agonie de l’animal se prolonge
une fois suspendu à la chaîne d’abattage.
Le tonneau de contention étant orienté vers les animaux suspendus,
les bovins ne perdent pas une 'miette' du sort que subissent leurs congénères.

 

Outre leur ignominie, ces agissements contreviennent à la réglementation en vigueur.
L214 souligne, ainsi, la violation de l’article R214-74 du Code Rural, lequel spécifie que :
« L’immobilisation doit être maintenue pendant la saignée ».
Parmi les autres articles bafoués, figure également l’article R214-65 du Code Rural précisant que :
« Toutes les précautions doivent être prises en vue d’épargner aux animaux
toute excitation, douleur ou souffrance évitables pendant les opérations de déchargement,
d’acheminement, d’hébergement, d’immobilisation, d’étourdissement, d’abattage ou de mise à mort ».

Mais le scandale ne s’arrête pas là.
Les Services vétérinaires sont présents en permanence dans l’abattoir de Metz
et n’ont pourtant pas signalé ces infractions pratiquées quotidiennement.
Ce constat ne fait que confirmer les défaillances récurrentes des services vétérinaires français,
pointées du doigt par l’Office alimentaire et vétérinaire (OAV) de la Commission européenne.
Pour preuve, relayant un article paru dans la dépêche vétérinaire de mars 2009,
L214 cite le président du Syndicat National des Inspecteurs en Santé Publique Vétérinaire (SNISPV) :
« Cela fait dix ans que le syndicat tire la sonnette d’alarme au sujet du déficit des contrôles officiels
en dénonçant la fragilisation croissante de nos effectifs et la catastrophe potentielle qui menace ».
D’autant que, comme l’a constaté l’enquêteur de L214, les pratiques déviantes de l’abattoir de Metz
sont abandonnées au profit de plus vertueuses lors de visites importantes.
Ce fut ainsi le cas à l’annonce d’un audit de la société McKey,
fabricant de steaks hachés surgelés et fournisseur des restaurants Mc Donald’s.

La mauvaise foi n’ayant pas de limite, dans son courrier de refus
apposé à une éventuelle visite de l’abattoir par l’association, Charal n’a pas hésité à déclarer :
« Au-delà de la réglementation en vigueur et du contrôle par les autorités
qui certifient chaque année la conformité de l’ensemble de nos abattoirs,
notre groupe a fait de la protection animale un volet central et spécifique de sa politique « Qualité »,
qui va au-delà des exigences actuelles et préfigure les évolutions réglementaires ».
Tout dépend de ce que l’on entend par « protection animale ».

L’association L214, qui dénonce la tromperie de l’entreprise envers les consommateurs,
a porté plainte contre Charal pour cruauté envers les animaux.

Cécile Cassier